Articles avec le tag ‘pleurs’
L’inamovible, Ben Bouzid !
« Un sot qui ne dit mot, ne se distingue pas d’un savant qui se tait » (MOLIERE)
La fête des Mères n’a pas de date, elle est éternelle !
(Kamel Seddiki)
« L’amour maternel est le plus près de la Miséricorde Divine. »
(Robert Charbonneau)
ســــــØÙ€Ù€Ù‚ـــــــــاً لـــمــــــــــن
يـتـــوضّـــأ بـــدمـــــوع أمّـــــــــه,لـيـــركــــــع بــمـØÙ€Ù€Ù€Ù€Ù€Ù€Ø±Ø§Ø¨ زوجــــتـــــــــــــه
 » Malheur à celui qui fait ses ablutions des pleurs de sa mère pour aller ensuite se prosterner aux pieds de sa femme ! «Â
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Douce lune, farouche et terrible inspiratrice…
serais-tu si impitoyable envers tes admirateurs ?
Comment fais-tu pour opposer à tant de convictions
toute la brutalité du mystère de ton âme vivante ?
Donne-moi ton amour, laisse-moi te chérir
fais-moi un serment sans ruse, sans détour
Ne serais-tu donc qu’une vulgaire instigatrice ?
Ne vois-tu donc que le seul aspect des pleurs ?
Au delà de cette mélodie verbale des afflictions
accorde Hétaïra, le fruit de tes braises ardentes
Donne-moi ta main, viens goûter aux plaisirs
Laisse ton cœur près de mon cœur, toi ma belle du jour
Himéros, accorde la fougue de ta grâce salvatrice
et délivre de ta captivité le destin de ces cœurs
Non Pandémos, tu ne dois pas sévir par ton éviction
car l’amour triomphera, il est la certitude évidente
Prends ma vie, prends mon âme, sans coup férir
je serai dévoué parmi ceux qui te font la cour
Non Hécate, éloigne tes grimoires et tes maléfices
Vaines et dérisoires sont tes promesses, tes rancœurs
malheurs à tes augures et tes maudites prédilections
car l’amour triomphera et tu sera sa vile servante
Prends mes peines, mes espoirs, laisse-moi agir
Viens tout près de moi, laisse mes mains sur tes contours
Tous ces cœurs en émoi sont ta proie, O noble Artémis
c’est le printemps des amours, des chants et des fleurs
Serais-tu Aphrodite, Perséphone ou une déesse de fiction ?
Accorde à ces cÅ“urs tourmentés, les délices d’une amante
Viens adorable Cypris, tu dois choisir
L’amour pour un temps ou l’amour pour toujours
Tu as su te déjouer de l’amour par tes sentiments factices
Jamais tu ne pourras fuir aussi, tes craintes et tes peurs
L’amour sincère saura se moquer de tes sordides abjections
Tu seras alors le pénible souvenir d’une douleur lancinante
Viens adorable créature du désir !
Viens assouvir la soif de mon amour…
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